« L’abolition de l’exploitation animale exige un changement de paradigme. Elle exige que nous rejetions la violence à sont niveau le plus fondamental. Elle exige que nous reconnaissions que la violence est mauvaise, de manière inhérente.
L’abolition de l’exploitation animale exige une révolution non violente – une révolution du cœur.
Cette révolution ne sera pas le résultat du travail d’un dirigeant. Elle ne peut qu’arriver en chacun de nous, autant que nous sommes. Et elle le peut, si nous le voulons bien. Nous n’avons pas besoin de dirigeants. Nous devons admettre que chacun de nous peut – et doit – devenir le dirigeant si nous voulons avoir quelque espoir de nous sortir de cette catastrophe que nous appelons le monde. Et cela commence par notre propre véganisme – pas à titre de « mode de vie flexible » – mais comme un engagement basique, fondamental et non négociable à la non violence. Le véganisme éthique représente notre engagement envers l’idée que nous n’avons aucune justification morale d’utiliser des animaux – peu importe que ce soit de manière « humaine » ou non – pour nos propres fins. Cela fait suite à nos efforts quotidiens pour éduquer les autres, de manière créative, positive et non violente à propos du véganisme – quelque chose que chacun de nous peut faire s’il le veut. Chaque jour, nous avons l’opportunité d’éduquer notre famille, nos amis, nos collègues de travail et les gens que nous rencontrons dans les magasins ou les autobus. Est-il plus facile de remettre un chèque à quelqu’un d’autre que de faire le travail soi-même? Bien sûr que ce l’est. Mais ça ne fonctionnera pas. »
~ Gary L. Francione
Extrait de « Une révolution du coeur »
J’aime beaucoup votre blog. Un plaisir de venir flâner sur vos pages. Une belle découverte et blog très intéressant. Je reviendrai m’y poser. N’hésitez pas à visiter mon univers. Au plaisir.
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